« Ayons pleine confiance en la Providence. C’est cette confiance qui doit nous soutenir  dans les difficultés qui ne manqueront pas de se présenter. »  
2 juillet 1826 Lettre ciculaire à la mort de la  de la  Mère Michelle, fondatrice  
   
« J’ai le désir de vous savoir heureuse, ce qui aura lieu sûrement si, ne comptant que sur la Providence, vous ne vous découragez pas à la vue des difficultés ».  
Lettre à sœur St Pascal 14  juin 1840  
   
« Ranimez votre foi et votre confiance ».  
L’état d’agitation dans lequel se trouvait la France en 1830, ne permit pas au Père Deshayes de réunir les soeurs à Saint-Gildas à l’époque des vacances d’été, comme cela se faisait chaque année, pour leur donner une retraite.  En janvier 1831, de Saint-Laurent-sur-Sévre où il résidait, il leur écrivit une circulaire dont  voici un extrait :
« Ne vous effrayez point de tout ce qui peut arriver. Ranimez votre foi et votre confiance, vous rappelant le plus possible, et surtout dans les occasions les plus critiques, que rien n’arrive que par l’ordre ou la permission de Dieu, qu’il dirige tous les événements par son Adorable Providence, et qu’il peut faire servir les plus grands  maux au bien de ses élus. Adorez donc ses impénétrables décrets et s’il arrivait (ce que je ne présume pas) qu’il fallut confesser la foi, rappelez-vous la constance et la fermeté des premiers chrétiens. » – cf Gabriel Deshayes L’audace de la foi Écrits et paroles.
 
   
« Je suis l’enfant gâté de la Providence ».  
   
« Vous pensez sans doute que je suis bien vieux pour m’occuper de ces oeuvres, mais n’aurais-je que huit jours de vie, je ne cesserais pas pour cela de le faire. »  
Décembre 1841, huit jours avant sa mort.  

 

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